5 janvier 2008
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17:53
(Je suis pas amer, j'ai just' les nerfs, j'ai pas dormi).
Bon, eh bien le jeu de rôles de hier fut bien. Pas vraiment rencontré de représentante du sexe opposé, mais ça fait tout de même passer une soirée sympa, pour une fois sans alcool ni débauche. A la différence de ce soir.
Et en attendant, me voilà vingt-neuvenaire.
Putain, vingt-neuf ans ! On dit que c'est les filles qui mentent sur leur âge, mais je vais commencer à dire vingt-cinq, moi. Je n'arrive pas à les assumer ces vingt-neuf bougies. J'ai beau essayer, je n'arrive pas à me dire que j'aurai 30 ans l'année prochaine.
A cet âge-là, je ne sais pas ce qu'il se passait pour vos parents, mais les miens étaient déjà mariés depuis belle lurette avec les enfants en route. Ils étaient installés, et quand on les voit sur les vieilles photos des années 70 (mais si, celles avec le lino orange et les fauteuils incurvés), on a l'impression qu'il font - eh bien, adultes.
Je ne fais pas adulte. Je ne veux pas faire adulte.
29 ans, et toujours adolescent. C'est peut-être pathétique, mais je ne m'en porte pas plus mal. Sortir, aller en soirée, rencontrer des filles pour un soir ou pour une vie (hum), manger n'importe comment, aller au Quick, graver des DVD, boire jusqu'au trou noir... pas vraiment de différence avec mes vingt ans, sauf que la ville est différente et que je suis désormais irrésistible (ou pas).
Je me demande ce qui provoque le déclic. Ce qui fait que certains arrivent à passer à l'étape adulte, alors que d'autres restent à profiter d'une éternelle adolescence. Je pensais d'abord que c'était dû au statut d'étudiant, mais cela fait plus de six ans que je bosse. Ou bien que cela venait avec l'éclosion d'une relation longue, mais j'ai connu ça aussi et ça n'a rien changé.
Peut-être que ça vient avec le premier enfant ?
Si c'est le cas, il me reste une bonne dizaine d'années à draguer en soirée étudiante.
Merde, je suis le seul à ne pas me sentir adulte dans le coin (Flamèche, tu as le droit de ne pas répondre) ?
Bon, eh bien le jeu de rôles de hier fut bien. Pas vraiment rencontré de représentante du sexe opposé, mais ça fait tout de même passer une soirée sympa, pour une fois sans alcool ni débauche. A la différence de ce soir.
Et en attendant, me voilà vingt-neuvenaire.
Putain, vingt-neuf ans ! On dit que c'est les filles qui mentent sur leur âge, mais je vais commencer à dire vingt-cinq, moi. Je n'arrive pas à les assumer ces vingt-neuf bougies. J'ai beau essayer, je n'arrive pas à me dire que j'aurai 30 ans l'année prochaine.
A cet âge-là, je ne sais pas ce qu'il se passait pour vos parents, mais les miens étaient déjà mariés depuis belle lurette avec les enfants en route. Ils étaient installés, et quand on les voit sur les vieilles photos des années 70 (mais si, celles avec le lino orange et les fauteuils incurvés), on a l'impression qu'il font - eh bien, adultes.
Je ne fais pas adulte. Je ne veux pas faire adulte.
29 ans, et toujours adolescent. C'est peut-être pathétique, mais je ne m'en porte pas plus mal. Sortir, aller en soirée, rencontrer des filles pour un soir ou pour une vie (hum), manger n'importe comment, aller au Quick, graver des DVD, boire jusqu'au trou noir... pas vraiment de différence avec mes vingt ans, sauf que la ville est différente et que je suis désormais irrésistible (ou pas).
Je me demande ce qui provoque le déclic. Ce qui fait que certains arrivent à passer à l'étape adulte, alors que d'autres restent à profiter d'une éternelle adolescence. Je pensais d'abord que c'était dû au statut d'étudiant, mais cela fait plus de six ans que je bosse. Ou bien que cela venait avec l'éclosion d'une relation longue, mais j'ai connu ça aussi et ça n'a rien changé.
Peut-être que ça vient avec le premier enfant ?
Si c'est le cas, il me reste une bonne dizaine d'années à draguer en soirée étudiante.
Merde, je suis le seul à ne pas me sentir adulte dans le coin (Flamèche, tu as le droit de ne pas répondre) ?