Flemme d'écrire un article cohérent ce soir alors que je viens de passer deux heures dans les bouchons en rentrant d'un rendez-vous à Perpet-sur-Oise, donc si jamais vous ne comprenez pas tous les messages subliminaux de cette note, c'est pas grave, j'ai sommeil.
Alors déjà bravo aux deux concernés, je suis fier d'eux, j'avais confiance, enfin je peux prouver mes talents de marieur. Puissiez-vous faire plein de beaux enfants.
Ensuite merci à Krisprolls pour le compliment d'hier, c'est le plus beau compliment qu'on m'ait jamais fait et j'en suis ému jusqu'aux tréfonds de mon intestin grêle.
Et puis je ne sais pas si vous aviez des jeux de gamins (mais alors vraiment de gamins, hein, genre 4 ans) comme moi mais à l'époque le grand truc c'était de se foutre de la gueule de quelqu'un en disant "tu m'as cru, patate crue, tout nu, dans la rue, inconnue"
Ouais, on a les jeux qu'on peut quand on est enfants. Si quelqu'un peut me dire qu'il prononçait lui aussi cette phrase fétiche (de même que "haut les mains, peau d'lapin, la maîtresse en maillot d'bain"), je me sentirai un peu moins seul.
Bref, pourquoi est-ce que je vous parle de ça ? Parce que pour passer le temps durant les heures de route aujourd'hui, j'ai encore fait ma connerie et acheté des CDs dans le Auchan du coin. Ouais, Krisprolls c'est les habits pourris, moi c'est les CDs pourris. Du coup je me suis encore chopé une compil "hits wazzaah de la mort" avec que des trucs de merde. Et parmi ces trucs... une révélation.
Un truc de Kazero qui s'appelle Thai na na.
Et les paroles, je vous le donne émile, donnent ça:
Quand t'es venue
Dans la rue
Inconnue...
Du coup, je ne peux m'empêcher de me demander: mais est-ce qu'il y aurait un rapport fourbe entre les deux histoires ? Est-ce qu'un gamin quelconque qui écoutait Kazero et a été charmé par la poésie des paroles a rajouté ça à ses insultes d'enfant ?
C'est comme les mômes d'aujourd'hui qui se traitent de bébés cadum alors qu'ils n'ont jamais vu ne serait-ce qu'un début de commencement de pub pour cette marque qui a d'ailleurs du disparaître depuis le temps.
Mais où va le monde, je vous le demande, où va le monde ?
...
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Je vous avais prévenus que ce serait n'importe quoi ce soir.