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10 février 2007 6 10 /02 /février /2007 16:43

Bon, avant de vous parler de cette fameuse soirée, il y a un sujet qui me turlupine (quoi, c'est un joli mot) et pour lequel je vais avoir besoin de vos avis, cher public tout acquis à ma cause, vous qui n'hésitez pas à (vous) mouiller pour moi.

Ca concerne les groupes de filles.

Parce que, faut pas se leurrer, en soirée, les jolies filles se déplacent en troupeau, telles les antilopes qui sentent l'odeur du trou d'eau dans le Veldt et se rapprochent instinctivement pour présenter leur flanc au chasseur intrigué qui vient de bousiller un cactus avec son 4x4 et qui se demande pourquoi les épines ont percé son pneu alors qu'il n'a pas de roue de rechange, comme quoi le destin s'acharne tout le temps sur les mêmes, merde, quoi.

Et on n'a pas toujours la chance d'être en position de faire un croche-pied à celle qui nous intéresse pour qu'elle tombe dans nos bras.

Du coup, l'homme se sent seul et ridicule face au groupe qui fait corps devant son intrusion. Lui sait qui l'intéresse, mais elles ne sont pas au courant. Et ca complique tout. Parce qu'il a peur de foutre sa merde en ne parlant qu'à une seule personne et ignorer les autres. D'où un drame aux proportions kafkaïo-hitchcockiennes, et encore je me retiens.

Bref.

L'homme bande (ses muscles). Il dresse fièrement son membre vers le ciel en un salut rageur. Baisituri te salutant. Qualis Artifex Pereo. Plein d'autres citations latines.

Il est prêt, il est grand, il est beau, il transpire dans sa chemise 100% coton des alpages suisses.

Et donc, comment va-t-il faire, notre homme ?

Il pourrait aller voir directement la fille qui l'intéresse, mais est-ce que ce n'est pas vexant pour les copines qui du coup risquent de mettre des bâtons dans les roues, sans compter la fille en question qui, peut-être par culpabilité, restera au coeur du groupe et se livrera moins ?

Ou alors il peut faire connaissance avec la totalité du groupe, discuter avec tout le monde sans faire d'exceptions, récupérer tous les numéros - et n'appeler que la fille qui l'intéressait au début. Au risque de foutre la merde à retardement.

Une amie que nous ne citerons pas (mais qui est charmante, bien sûr, même si en l'occurence il est évident qu'elle se trompe) est partisane de l'une de ces solutions.

Un blogger que nous ne citerons pas (mais qui est beau, intelligent, brillant, formidable sous tous rapports, et que vous lisez avec délectation - ou pas) privilégie l'autre.

Donc quelles sont vos expériences ? Comment feriez-vous ou avez-vous fait dans des cas similaires ?

Et toi, oui, toi, qui est fille et fière de l'être, comment réagirais-tu dans les deux situations ?

(Putain, un peu mal au crâne moi)

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10 février 2007 6 10 /02 /février /2007 07:01

Notamment un Quick.

A 7h du matin.

Quand vous êtes fatigué, cassé, et mort de faim.

Les caissiers ont une sale gueule, les prix sont plus élevés que durant la journée, faut se garer comme une loque en double file avec les warnings, mais en dehors de ça c'est nickel. Ce matin, ça m'a sauvé la vie.

Et si vous êtes sages, je vous raconterai comment s'est passé cette fameuse soirée.

Une fois que j'aurai dormi.

Là.

Tout de suite.

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9 février 2007 5 09 /02 /février /2007 13:19

Tel un Jack Bauer de pacotille, sans le flingue mais avec les yeux, j'avais décidé hier de sauver le monde en me rendant à une de ces fameuses soirées seven to one dont j'entendais parler depuis tant de temps (mais si, rappelez-vous, vous aussi vous avez votre boîte mail qui se fait polluer par des dizaines de pubs pour ces soirées, vous ne les lisez même plus).

Une soirée seven-to-one (traduire: de 19h à 1h du matin), ce sont des soirées qui se déroulent de 19h à 1h du matin. C'est là qu'on se dit que la maîtrise de l'anglais, c'est bien.

L'intérêt, c'est que ça permet de sortir en semaine sans être trop déchiré le lendemain, et surtout (de mon point de vue) de bénéficier d'un open-bar champagne jusqu'à 21h. Ouais, le seven-to-oneur se bourre la gueule tôt, ou bien il allonge la carte de crédit vu que le moindre cocktail coûte 12 € après l'instant fatidique.

Tel Jack Bauer qui sait compter sur son réseau pour élaborer ses stratégies puissantes et intellectuelles, j'ai appelé une amie qui bosse pour un de ces fameux sites de sorties pour qu'elle me conseille quelque chose de sympa.

"Ouais, va là-bas, je te rajoute sur la liste, no souci" qu'elle me dit.

Dont acte. C'est à partir de là que tout commence à partir en couilles. Parce qu'une soirée tout seul, faut vraiment vouloir sortir pour se la faire...


19h15

Notre héros, à peine sorti du boulot, se retrouve devant l'endroit indiqué. C'est pas loin des Champs, il pleuviote, et il y a déjà une queue immense (pas de mauvais esprit dans le fond, je vous connais)


19h30

Notre sympathique et ô combien humide protagoniste arrive devant les deux vigiles. Son nom n'est pas sur la liste (ben tiens !)

'Mais euh je connais XXXX" que je fais, "elle m'a dit qu'elle m'avait rajoutée"

"Qui ça ?" demande le premier poilu.

Et merde...

Bon, je discute, je discute, et j'arrive à passer. Première étape réussie, à moi les Boyards.


19h45

Le Batracien s'avance dans ce lieu de stupre et de luxure. Sa première pensée est pour l'open bar. Il se dirige d'un pas assuré vers la masse grouillante de lépreux en rut qui cherche à se faire servir sa conso. Parce que oui, un open bar pour 10€, faut s'attendre à une arnaque. Là, en l'occurence, c'est simplement qu'il y a trois serveurs pour trois cent personnes, donc que ça va len-te-ment et qu'on est servis len-te-ment. Et puis c'est du mousseux dégueulasse. Mais bon, on va pas cracher dans la soupe, je suis là pour la boire. Je m'accoude donc au bar en me préparant à une longue attente.


19h46

Un des serveurs me remplit mon verre à ras bord avec un clin d'oeil complice. Yes ! J'ai la cote, et j'ai un verre. Je le vide d'un trait, tant qu'à faire, histoire de me chauffer un peu pour la soirée.


19h47

Le barman me re-remplit mon verre avec un sourire pervers. Je le re-vide.


19h48

Verre de nouveau rempli et franc sourire du barman. Bon, de deux choses l'une, soit j'ai l'air vraiment sympa, soit j'ai l'air vraiment homo. Dans tous les cas je ne me plains pas, le prix d'entrée est déjà amorti. Je sens les bulles sur ma langue. Ca fait du bien. Il est temps de bouger un peu.


20h00

Je me sers au buffet. Je commence à réaliser que c'est un peu nul d'être venu seul, en fait (sauf à draguer des barmen). Faut dire que c'est chiant d'avoir (presque) que des amis en couple. Mais bon, je le saurai pour la prochaine fois. En attendant, j'ai pris deux verres de plus et je me sens motivé pour m'incruster quelque part.


20h05

"Bonjour, il y a de la table à votre place ?" que je demande à une bande de filles nubiles occupées à discuter dans un coin.

Merde, c'est le stress ça. Pas l'habitude d'aborder les gens comme un con. Sans compter le regard venimeux que me lancent les trois filles, visiblement je ne suis pas le bienvenu.

"Euh non tu vois bien qu'il n'y a pas de chaise, c'est pas de chance" offre l'une d'elles en guise d'excuse.

Je hausse les épaules et je plonge dans mon verre (de nouveau plein, thank you mister barman). Ca commence bien.


20h06

"Hey, tu veux t'asseoir ? Ya de la place ici !"

Ma soirée est sauvée par la table d'à-côté, trois filles aussi, malheureusement un peu moins intéressantes physiquement que celles auxquelles j'étais allé parler. Mais on ne peut pas tout avoir, c'est déjà bien de pouvoir épancher son alcool avec quelqu'un. Avec gratitude, je m'installe avec le trio. Il y a des verres sur la table, je propose de profiter de mon lien privilégié avec le barman pour tout remplir. Acquiescements.


20h07

Décidément, ya quelque chose dans l'air avec le serveur, qui s'est rué sur moi pour remplir les quatre verres. Il me met la main sur l'épaule avec un sourire qui s'élargit, va falloir qu'on m'explique comment le fait de discuter avec trois filles ne me classe pas dans la catégorie hétéro. Pas grave, je chope les verres et je me barre. J'en siffle deux en route.


20h10

Les filles sont respectivement dans la communication, les ressources humaines et le droit. Ouais, c'est le principe des seven to one, on tombe que sur ça. Je commence à perdre un peu le fil de la soirée, faut dire qu'avec une belle énergie je termine leurs verres en continuant à discuter.


20h20

Ca discute encore. Je me penche vers une des filles, je ne sais pas si c'est la plus mignonne, mais c'est la plus proche et c'est déjà pas mal vu mon état.


20h30

Le DJ met "Born to be alive". Je me lève en titubant "Ouaaaais on va se déchirer sur la piste !".

Ma tentative avorte alors que je me retrouve au bar et que je re-remplis les verres.


20h45

Je commence à embrasser la fille, qui se laisse faire. C'est bien, les filles qui acceptent de diluer la solitude des gens. Ca fait plaisir. Elle pue le champagne.


21h00

L'open bar se termine, la musique devient plus forte. Ca y est, tout le monde danse. Je bois.


22h00

Je pars de la soirée, fatigué, mal au crâne. Pas assez mangé au buffet gratuit, j'ai envie de me faire un McDo. J'ai l'impression d'avoir oublié quelque chose, mais quoi ?


22h15

Merde, je crois que j'ai laissé la fille dans la soirée en fait, et que je suis parti sans prévenir.

 Une bouffée de culpabilité m'envahit.


22h30

Je suis au Virgin. Qu'est-ce que je fous au Virgin ?


23h00

Home sweet home. Je réalise en fouillant dans mon portable que j'ai un numéro en plus dans mon agenda, avec un nom complètement improbable à côté (c'est pas Gertrude mais pas loin...). Impossible de me rappeler si c'est la fille que j'ai embrassé, ou une de ses amies, ou quelqu'un d'autre.


0h00

Putain, je veux un McDo. Je me couche, je dors.

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9 février 2007 5 09 /02 /février /2007 01:39

L'avantage de ces fameuses soirées seven to one, c'est qu'elles se terminent tôt.

L'autre avantage, c'est que l'open bar est jusqu'à 21h donc qu'on est torché tôt. Donc qu'on récupère plus vite.

Bilan ?

- Oui

- Oui

- Oui

- Non

- Oui

- Oui

- Oui

- Oui

- Non

- Non

- Oui

- Oui

- Oui

J'ai évité le pire.

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8 février 2007 4 08 /02 /février /2007 09:32

Quand je bois, j'ai tendance à devenir très affectueux.

Quand je bois, mes critères de beauté s'effondrent lamentablement.

Quand je bois, j'embrasse tout ce qui bouge - et même ce qui essaie de ne pas bouger.

Quand je bois, il m'arrive de montrer mon cul.

Quand je bois, je fais de grandes déclarations à mon entourage.

Quand je bois, je perds toute timidité.

Quand je bois, je me sens très subtil.

Quand je bois, je finis les verres des autres.

Quand je bois, je me réveille parfois à côté de personnes involontaires.

Quand je bois, je me réveille parfois dans un appartement inconnu.

Quand je bois, je suis toujours frais et dispo le lendemain.

Quand je bois, je suis une source d'anecdotes pour tous les amis présents.

Quand je bois, je suis vraiment un gros boulet.

Bon.

Ce soir, je me bourre la gueule.

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5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 23:38

Question existencielle qui vient de m'être posée et à laquelle, dans ma grande sagesse, on me demande de répondre: les filles réalisent-elles exactement ce qu'elles font lorsqu'elles nous posent des lapins ?

Plus spécifiquement, prenons un garçon que nous appellerons A et une fille que nous appellerons Machine pour mieux la reconnaître. A est intéressé par Machine, on peut même supposer qu'il ne serait pas contre lui glouglouter l'arrière-train dans un wagon à bestiaux si jamais elle acceptait.

Seulement voilà, A n'arrive pas trop à rencontrer Machine autour d'un verre, ou d'un film, ou d'une soirée. Elle est systématiquement "occupée" à cause de son boulot, de sa famille, de ses amis. Et du coup, les choses traînent en longueur.

Comme A est quelqu'un de motivé (putain, six mois, A, tu déconnes), il ne lâche pas l'affaire. L'oeil vif, le sexe dressé, il continue de temps en temps à proposer ladite rencontre, sans trop d'espoir, mais en se disant "pourquoi pas ?"

Deux fois, la fille annule. Toujours, elle semble trouver une bonne excuse.

Mais au final, au final.... au final elle accepte et finit elle-même par proposer un jour. Les mâchoires se décrochent devant l'improbabilité du phénomène.

Mes questions, pêle-mêle, seront donc:

1) Est-ce qu'une fille qui est vaguement intéressée par un mec fera passer sa famille/ses amis devant, ou pas ? En gros, est-ce que le fait qu'elle ne se soit pas rendue disponible, disons, dans la semaine ou les dix jours, est un très mauvais signe ?

2) De même, est-ce que poser un lapin au dernier moment est un signe de cruauté de la part de Machine, qui avait certainement une bonne raison mais faut pas déconner quand même sinon on va tous devenir machos et fourbes ?

3) Enfin, est-ce que A peut estimer avoir ses chances avec Machine suite à cette rencontre enflammée qui devrait, sauf annulation, se dérouler incessamment sous peu ?

- Grenouille, grand reporter, enquête pour vous !

PS: Cadeau pour vous, une image de Sinfest que j'ai retrouvée dans mes archives.

PS: désolé tous les MSNeux avec qui je discutais, ça a plantouillé ce soir

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4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 22:47

J'ai l'impression d'avoir passé deux ans en léthargie.

Je n'écris plus, je ne fais plus de sports, je sors moins, je bois moins, je rencontre moins de monde. Je dirais bien "je baise moins" mais c'est moyen crédible.

Pff, je suis une loque.

J'ai donc décidé de me reprendre un peu en main. Ouais, je sais, je prends ce genre de grande décision une fois par mois et je ne le tiens jamais. Mais là j'ai déjà commencé, j'ai rangé un peu mon appart, j'ai retrouvé mes vieux haltères poussiéreux et quelques carnets de notes qui datent d'une époque révolue (noir, noir, noir).

Il est temps de commencer ma crise d'adolescence. Allez, quelques pompes, quelques tractions, et je serai comme neuf. On peut toujours rêver.

De la Smirnoff pour la réserve d'alcool qui était autrefois inépuisable et ne compte plus une seule bouteille. Des lingettes miraculeusement rescapées pour l'appart et sa poussière.

Il est aussi temps de répondre positivement aux dizaines de lettres de mon club de sport ("réabonnez-vous, un an c'est moins cher, deux ans c'est pervers !") et finir par me bouger un peu, sans parler de réviser quelques pas de Salsa.

Et puis sortir, sortir, sortir...

Bleh. Ca me fatigue d'avance ^^

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1 février 2007 4 01 /02 /février /2007 15:15

C'est marrant comment ça peut être personnel, une manière de dormir dans un lit. Et du coup, ça devient un véritable casse-tête de s'adapter aux gens qui, longtemps ou non, empiètent sur notre pré carré, notre préréquis, notre préservatif - avant d'être prétirées.

Hum.

Non, mais c'est vrai. Ca perturbe tout, quand on a quelqu'un dans le lit. On ne peut pas forcément dormir dans les mêmes positions que d'habitude, sauf à être chacun à un bout du lit sans aucun contact, ce qui n'est pas forcément le but. Et puis, même comme ça, on ne peut pas s'empêcher de moins s'étaler. Frustrant, hein ?

Je me rappelle avec émotion ma première nuit, il y a longtemps, avec la première fille dans les bras. Et sans sexe. Bon, ben j'ai pas dormi de la nuit. D'abord parce que j'avais cette masse étrange sur le bras droit qui m'empêchait de me mettre dans une position confortable, ensuite parce que je me répétais en boucle "yess, yesss, yesss", enfin parce que je devais avoir une telle érection que la simple douleur devait me tenir éveillé.

Bon, j'avoue, c'est un mauvais exemple. Mais il n'empêche que pendant toute cette fameuse nuit, j'ai cherché à dégager morceau par morceau mon bras pour parvenir à rouler sur le côté d'une manière ou d'une autre et pouvoir enfin dormir tranquillement. C'est que c'est encombrant, une fille !

Heureusement, l'âge et l'expérience aidant, le vieux sage a fini par trouver les vieilles techniques de rouler-bouler de Ross pour se débarasser de la femelle envahissante.

Mais, et c'est là que c'est intéressant, les filles aussi ont des comportements très différents vis à vis des nuits communes. Vous en avez qui vont vous coller comme une moule à son rocher, ce qui est extrêmement mignon et extrêmement transpirationnel. Vous en avez qui vont rouler sur le côté, mettre les couvertures au milieu et ne pas rouler une seule fois dans votre direction. Vous en avez qui vont s'endormir sur votre épaule, d'autres sur votre ventre.

Et dans tous les cas, qui c'est qui doit s'adapter ? C'est bibi ! C'est un véritable scandale, quand même. On sert d'oreiller, de coussin, de polochon, de couette, de couverture, de nounours, et ça râle quand on essaie de libérer un bras pour subrepticement essayer de récupérer quelques heures de sommeil. Ou alors ça râle quand on essaie de glisser son bras pour faire genre on se soucie de son confort.

Bref, c'est chiant une fille. Ca prend de la place, ça a les pieds froids, le nez froid, les seins froids, et ça se serre contre nous jusqu'à ce qu'on ait du mal à respirer lorsqu'on veut être tranquilles, alors que ça s'écarte quand justement on a besoin d'être réchauffés. C'est mal coordonné, une fille.

Et pourtant, qu'est-ce que c'est nul un lit vide.

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31 janvier 2007 3 31 /01 /janvier /2007 11:42

Lorsqu'on a des poussées de fièvre, on fait des rêves. Et lorsqu'on est un mâle normalement constitué, il y en  qui peuvent tourner de manière assez... intéressante.

D'habitude, je ne me souviens jamais de mes nuits. Mais là, la mémoire reste très vivace. Il s'agissait d'un plan à trois, avec deux filles (ouais, je fais ce que je peux pour remettre du sexe dans ce blog, admirez l'effort).

Malheureusement, je ne me souviens pas des visages ni même s'il s'agissait de personnes existant ou non, de blondes ou de brunes, tout ce que je sais (avec un certain soulagement, j'avoue), c'est qu'il s'agissait bien de filles.

Seulement voilà. Là où n'importe qui aurait rêvé de copulations frénétiques dans tous les sens et toutes les positions, de sexe sauvage et de lesbianisme voyeur, ça n'a représenté pour moi qu'une toute petite part de la nuit. Le reste...

Ben le reste, c'était le quotidien avec deux filles. Je me souviens que je me suis fait doublement engueuler pour l'état de mon appart (haaaan !).

Puis j'ai eu à gérer des questions de jalousie.

Puis il y a eu un souci de décoration.

Puis des problèmes d'émission télé le soir.

Puis elles n'ont plus voulu coucher ensemble mais seulement séparément.

Puis elles se sont foutues sur la gueule, je les ai séparées, je me suis pris un coup de griffe, et ça m'a réveillé.

Perplexe, le batracien. Même dans mes rêves érotiques, j'imagine toutes les conséquences.

Finalement, les rêves fiévreux, c'est pas si génial que ça ^^

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30 janvier 2007 2 30 /01 /janvier /2007 14:06

Notamment celui de la sécu.

Hier, je suis allé voir un médecin alors que je ne mets jamais les pieds chez cette engeance du diable. Et ça n'a pas loupé.

Il m'a prescrit cinq médicaments différents, des trucs pour le nez, pour la gorge, pour la fièvre, pour l'oreille gauche, pour l'auriculaire droit, pour le testicule du milieu, sans compter les antibiotiques qui sont automatiques.

Et d'un ton innocent, il a sorti son calepin en demandant: "bon, je vous mets combien de jours d'arrêt de travail ? Trois ? Ou bien vous voulez la semaine ?"

Bon, en l'occurence ça m'aurait fait plaisir de prendre la semaine mais je ne pense pas qu'une bronchite le justifie - et accessoirement j'ai du boulot en retard donc bon gré mal gré je n'ai pris que mon lundi. Incompréhension du toubib.

"Vous êtes sûr ? Vraiment ? Non mais sinon repassez demain et je vous refais un arrêt, hein".

Bleh.

J'ai la tête dans le cul, les jambes molles, le sexe pendouillant, les yeux vitreux, mais je suis au boulot ! Comme un général face à la mitraille, je romps mais ne plie pas. Ou le contraire. Ou une autre métaphore.

Au final, je ne comprends rien au système de mutuelle et de sécurité sociale mais j'ai mis ma carte vitale dans un lecteur, je l'ai montré au pharmacien, je suis reparti avec une demi-douzaine de boîtes sous le bras sans avoir payé un centime. Ah elle est belle, la France ! Ca donne envie de tomber malade plus souvent, tiens.

Et le pire, c'est que j'avais rendez-vous ce matin chez Sanofi- Aventis. Ils ont pu constater en direct l'efficacité de leurs médicaments quand je leur ai toussé à la gueule.

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